Il y a deux versions du drame de la Digue de Lesconil.
Dans l’une c’était une belle journée qui commençait et la tête de blonde était celle de Barla Blondie, dans l’autre c’était la tête d’Hermine Breizhig et un ciel d’enfer s’enflammait sous les rayons naissants du soleil. Les seules constantes étaient que Cordélia s’était bourré la gueule au champagne toute la nuit comme tous les samedis et que le soleil se levait. En réalisant sa découverte elle paniqua et repoussa la tête à la flotte. Elle avait sauvé sa bouteille de champ qu’elle liquida aussitôt. On ne su jamais à qui appartenait le sang sur la Digue.La tempête qui précéda l’arrivée des plongeurs effaça toutes traces.
Aucune nouvelle de la touriste Italienne Barla, ni d’Hermine la fille du pays.
Mais avec les blondes on ne sait jamais…
There was two versions for the drama of the Dike of Lesconil.
In the one it was the beautiful day which began and the head of blonde was the one of Barla Blondie, in the other one, it was the head of Ermine Breizhig and a sky of hell ignited under the rising beams of the sun. The only constant was that Cordélia was drunk with champagne as every Saturday night, that the sun got up and that by realizing its discovery, She paniced and pushed away the head in the sea. She had saved her bottle of Champagne which she drunk immediately. One not known never to who belonged the blood on the Dike.
The storm which preceded the arrival of the divers cleaned tracks for ever.
No news of the Italian tourist, Barla, or Ermine the girl of the country.
But with the blondes, you never can tell …
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